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cinématographique.
La Haine est un film français en noir et blanc sur la banlieue réalisé par Mathieu Kassovitz et sorti en 1995.
Nommé 11 fois aux César, La Haine en obtient trois dont celui du meilleur film en 1996.
L'essentiel du récit s'étend sur une seule journée : la journée la plus importante de la vie de trois jeunes.
Spoiler(cliquez pour révéler)Le récit se déroule au lendemain d'une nuit d'émeutes opposant la jeunesse et la police dans la cité des Muguets à Chanteloup-les-Vignes (78). Ces émeutes étaient consécutives à la bavure d’un inspecteur du commissariat qui avait sérieusement blessé Abdel Ichaha, un jeune résident de la cité, lors d'une garde à vue. On suit les péripéties de trois jeunes amis d'Abdel Ichaha. Vinz, juif impertinent au tempérament violent, a soif de vengeance au nom d'Abdel. Hubert, d'origine béninoise, dealer de haschisch, ne pense qu'à quitter la cité pour une vie meilleure et se refuse à provoquer la police. Saïd tient un rôle de médiateur entre Vinz et Hubert à propos des désirs de vengeance du premier par rapport à la police.
source wiki
"C'est l'histoire d'une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer : "Jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien..." L'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage."
Un film avec une vrai qualité d'écriture, un film qui marque les esprits, un film qui choque, un film avec des personnages travaillé, alors qu'il aurait été vite fait de faire de nos trois banlieusard des caricatures toutes identiques.
On est face a quelques longueur, mais ça reste un film magnifique dont on retiendra la morale finale :
"C'est l'histoire d'une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer : "Jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien..." L'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage."
Ce film est formidablement bien ecrit, sorte de méli-mélo de choses simplement excellentes. A commencer par son casting et ses dialogues, mais aussi son thème lui même, et le fait qu'il soit traité sans fard ni cliché. On appréciera aussi ses personnages très aboutis, son excellente réalisation, les références à la pelles. Et la fin du film est juste incroyable et culte.
Les images en noir et blanc par contre, je trouve que ça n'apporte rien. Je n'y ai pas vu un intérêt esthétique particulier. J'ai donc trouvé ça un peu prétentieux.
Probablement une bonne retranscription de la vie dans certaines cités. Je dis "probablement" car je pense qu'il faut y vivre pour en juger. En tout cas, l'histoire ressemble à ce qu'on imagine, dure à vivre. Les images en noir et blanc empêchent qu'on trouve certains passages légers, un peu à l'image de l'avenir de ces jeunes. Vincent Cassel est surprenant dans son rôle, et de même pour les autres acteurs qui portent les dialogues de façon naturelle. Certaines répliques sont devenues cultes et parfois reprises ailleurs. Avec des musiques et chansons qui collent parfaitement aux séquences. Bref, un très bon film...
Film honnête, en le revoyant plusieurs années plus tard je constate que la qualité cinématographique n'a pas faibli. C'est un film qui se regarde très bien en 2019. Le message lui ne me semble pas si clair, la description de la réalité pas vraiment au rendez-vous. Plus tarantinesque qu'autre chose finalement. Un bon film.
Un film qui s'est révélé être bien meilleur que ce que j'imaginais. On a là un film qui marque : de par son scénario, de par ses acteurs, de par ses personnages qui sont très travaillés et très différents. Pas de clichés, pas de parti-pris, une juste exposition des choses : on a dans ce film une représentation de la banlieue telle qu'elle est tant du côté des mauvais aspects que des bons. Et c'est là où le film se démarque : il montre aussi les bons aspects de ces vies de cités, et casse les pensées que l'on pourrait s'être créées.
Mention pour la fin, je ne m'y attendais pas.
Un très bon film, malgré quelques longueurs et qui peut toujours être d'actualité de nos jours.
De beaux personnages bien étudiés, une dure réalité, mais j'ai trouvé le scénario assez plat. Trop de moments longs mais j'aime l'idée du noir et blanc.
Pour moi, il manque un accroche, quelque chose qui fait que le spectateur veuille voir la suite.
Film à voir m'a-t-on dit, je l'ai vue et je ne regrette pas mais j'ai été un peu déçue je dois l'avouer.
Un film puissant, des personnages réelle et bien joué, une violence l'attente dans une société pourris par les trafic. Ce film est dur mais réaliste et prenant
Synopsis
La Haine est un film français en noir et blanc sur la banlieue réalisé par Mathieu Kassovitz et sorti en 1995.
Nommé 11 fois aux César, La Haine en obtient trois dont celui du meilleur film en 1996.
L'essentiel du récit s'étend sur une seule journée : la journée la plus importante de la vie de trois jeunes.
Spoiler(cliquez pour révéler)Le récit se déroule au lendemain d'une nuit d'émeutes opposant la jeunesse et la police dans la cité des Muguets à Chanteloup-les-Vignes (78). Ces émeutes étaient consécutives à la bavure d’un inspecteur du commissariat qui avait sérieusement blessé Abdel Ichaha, un jeune résident de la cité, lors d'une garde à vue. On suit les péripéties de trois jeunes amis d'Abdel Ichaha. Vinz, juif impertinent au tempérament violent, a soif de vengeance au nom d'Abdel. Hubert, d'origine béninoise, dealer de haschisch, ne pense qu'à quitter la cité pour une vie meilleure et se refuse à provoquer la police. Saïd tient un rôle de médiateur entre Vinz et Hubert à propos des désirs de vengeance du premier par rapport à la police. source wiki
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